 
Toute la documentation pour
défendre la vie, pour vaincre
le mensonge et éviter les
drames.
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Témoignage d'un
aumônier
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INTERRUPTION VOLONTAIRE
DE LA GROSSESSE
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- Mon expérience se situe au service
maternité. Je regrette que l'aumônier
soit appelé (généralement) quand
la décision de l'interruption est
déjà prise. Un accompagnement pastoral
en amont permettrait aux personnes d'exercer leur
libre arbitre, afin de décider ou non d'une
IVG.
- Mais attention, il y a des situations
très complexes. Parfois, lors d'une grossesse
pathologique, la vie de la femme est en danger : que
dire alors dans ce cas à une femme
déjà mère de famille nombreuse ?
"Lorsque nous ne savons plus quelle décision
prendre, appuyons-nous sur le commandement
libérateur : Tu ne tueras pas" (Père
Viesperen). En tout cas, qu'il n'y ait jamais de
jugement sur qui que ce soit, cela ne nous appartient
pas.
- Quand les parents demandent si l'enfant peut
être baptisé, je réponds
:
- - Le baptême ne peut en aucun cas
être donné à un enfant mort.
- Si les parents posent la question du devenir de
l'enfant : sera-t-il accueilli par Dieu ?
Participera-t-il à la vie éternelle ?,
je réponds :
- - Evidemment, le salut ne dépend pas du
bon vouloir des parents. L'enfant non baptisé
sera sauvé.
Père
Yannick Poligné -
Rennes
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